Ostéopathie

  bio-dynamique

Cette pratique n'impose absolument rien. Dans cet état, je ne suis plus celui qui sait et qui amène le corps là où il l'a décidé. Je me plie aux lois de la Nature et, pour cela, je dois être dans une qualité de présence et de connexion optimale, tel un maitre Zen. Ce qui peut paraitre passif, ne l'est en réalité pas du tout. J'appelle ça "l'immobilité dynamique", c'est à dire qu'il faut Etre un point d'appui solide et stable pour permettre à la dynamique de santé du patient de s'exprimer en toute sécurité.

L'idée est de travailler avec la santé (et pas contre la maladie).

Une fois que l'orchestre est à l'unisson et accordé, la symphonie de libération et d'intégration des traumatismes peut enfin avoir lieu.

Ostéopathie

  bio-tissulaire

Dans cette approche, on considère qu'un corps malade a emmagasiné de l'énergie (traumatisme physique, émotionnel ou trouble métabolique) qu'il aurait dû laisser circuler.

Celle-ci reste bloquée :

·       lorsqu'elle est trop importante ;

·       lorsque le corps n'a pas le temps de s'y adapter.

Dans ce cas, les tissus ne sont plus en mesure de communiquer, ils se rétractent comme s'ils cherchaient à se protéger.

L'ostéopathie tissulaire va faire en sorte de relancer la circulation dans les tissus et permettre à la communication cellulaire de reprendre.

Ostéopathie

   bio-mécanique

De formation initiale bio-mécanique, il m'arrive d'utiliser occasionnellement ces techniques classiques de manipulation qui me permettent de libérer des articulations en défauts.

Concrètement, j'amène en douceur l'articulation que je souhaite manipuler au maximum de son amplitude, sans forcer. Lorsque l'articulation a atteint ce point, la barrière motrice, j'effectue un trust qui va « surprendre » le système nerveux et désengager l'articulation, lui rendant ainsi sa pleine mobilité.

Cette manipulation, bien pratiquée et avec parcimonie est parfaitement indolore et inoffensive.